Quelques coussins
Bonjour,
Je commence aujourd'hui à vous présenter mes créations.
J'ai choisi de commencer par quelques-uns de mes coussins, ceux dont les motifs nous viennent des traditions germaniques : Allemagne et Autriche plus précisément.
Je commence aujourd'hui à vous présenter mes créations.
J'ai choisi de commencer par quelques-uns de mes coussins, ceux dont les motifs nous viennent des traditions germaniques : Allemagne et Autriche plus précisément.
Musique : J.S.Bach CP BWV1063-02
Piano : Glenn Gould
Ce sont des motifs paysans traditionnels, transmis de générations en générations depuis au moins le 18ème siècle.
Dans les campagnes, le lin et le chanvre étaient le plus souvent tissés à la ferme.
C'est encore le cas aujourd'hui : j'ai pu le remarquer en Roumanie au Maramures il y a quelques années.
Le linge - principalement le trousseau des petites filles - était ensuite brodé au point de croix & autres points comptés et au point Hardanger par les femmes et les filles de la famille avec des motifs reproduits inlassablement -toujours les mêmes, toujours légèrement différents au gré du savoir-faire et de l'imagination de chaque brodeuse.
Parfois, le tissage à la main ne permettait pas d'obtenir des toiles très fines : ces toiles étaient utilisées de préférence pour les coussins et les nappes où les points de croix pouvaient être "gros".
Les motifs, géométriques, répétés et combinés sur la toile, sont très faciles à mémoriser : cela en rend la broderie facile.
Piano : Glenn Gould
Ce sont des motifs paysans traditionnels, transmis de générations en générations depuis au moins le 18ème siècle.
Dans les campagnes, le lin et le chanvre étaient le plus souvent tissés à la ferme.
C'est encore le cas aujourd'hui : j'ai pu le remarquer en Roumanie au Maramures il y a quelques années.
Le linge - principalement le trousseau des petites filles - était ensuite brodé au point de croix & autres points comptés et au point Hardanger par les femmes et les filles de la famille avec des motifs reproduits inlassablement -toujours les mêmes, toujours légèrement différents au gré du savoir-faire et de l'imagination de chaque brodeuse.
Parfois, le tissage à la main ne permettait pas d'obtenir des toiles très fines : ces toiles étaient utilisées de préférence pour les coussins et les nappes où les points de croix pouvaient être "gros".
Les motifs, géométriques, répétés et combinés sur la toile, sont très faciles à mémoriser : cela en rend la broderie facile.